SOMMAIRE N° 3
Laurence Denooz et Nehmetallah Abirached, Introduction
Yannick Hoffert, « Le fil d'or de la poésie ». Visages de la poésie dans l'œuvre de Georges Schehadé
Portraits d'auteurs
Salah Stétié, Schehadé, Georges (1910-1989)
Albert Dichy, Georges Schehadé, portrait de profil
Regards sur les Poésies
Michel Deguy, Schehadé, la poésie
Jean-Yves Masson, « Le Temps est innocent des choses » : du refus de l'Histoire à l'espérance prophétique dans « Les Poésies »
Emmanuel Rubio, Ancrage poétique de Rodogune Sinne : « Quand je devins orphelin... »
Maha Badr, Pour une lecture du « Récit de l'an zéro »
Une poésie de théâtre
Michel Corvin, Schehadé, dramaturge de la pièce-itinéraire
Marie-Claude Hubert, Schehadé, un théâtre en liberté
Corinne Flicker, Le théâtre de Schehadé, l'héritage surréaliste en question
Florence Fix, « L'Habit fait le prince », les silences du théâtre
Sophie Gaillard, Georges Schehadé au travail avec Jean-Louis Barrault
Benoît Barut, Les didascalies de Schehadé : de l'orthodoxie au réenchantement
Laurence Denooz et Yannick Hoffert, « Goha », entre hybridité interculturelle et aventure poétique
Autour de Monsieur Bob'le et de La Soirée des proverbes
Christine Clara, Étrange « Monsieur Bob'le »
Danielle Baglione, Un théâtre de l'exil - Autour de « Monsieur Bob'le »
Nathalie Macé, Les représentations énigmatiques du poète dans « Monsieur Bob'le » et « La Soirée des proverbes »
Philippe Lefebvre, Jeux et enjeux du christianisme et de la poésie dans « La Soirée des proverbes » de Schehadé
Jean-Louis Benoit, À propos de la mise en scène de « Monsieur Bob'le »
Figures et thématiques privilégiées
Talal Wehbe, La traversée des jardins dans la poétique schehadienne
Françoise Bombard, Présence de la nature dans « Poésies II » de Georges Schehadé
Samuel Martin, Chasse et chasseurs chez Schehadé
Gilles Ernst, Pour le privilège de la mort
Bruno Tritsmans, Le mage et ses fantômes, de Khalil Gibran à Georges Schehadé
Clôture (réouverture)
Yannick Hoffert, Entretien avec Jean-Pierre Siméon : Nous retrouver dans le silence pour entendre une langue impossible